Les Etudiants de l'Institut de Pastorale et de catéchèse biblique ont choisi, chacun, un sujet de recherche pour leurs travaux de fin de cycle. Les recherches portent toutes sur des sujets pratiques: nos différentes cultures au Mai- Ndombe. C'est en connaissant mieux nos cultures, en entrant profondément dans leur particularité propre tout autant que dans leur dynamisme que nos Etudiants seront à même de faire un travail d'inculturation non spéculatif mais enraciné dans le concret de la vie, non intéressé mais orientée vers une nouvelle synthèse en Jésus-Christ. Jean-Paul II écrit à ce sujet: " La culture est un effort de réfléchir sur le mystère du monde et, en particulier, le mystère de l’homme. Elle est une manière d’exprimer la dimension transcendantale de la vie humaine. Le cœur de toute culture est son approche du plus grand mystère : le mystère de Dieu. Tel est le défi décisif d’une approche pastorale de la culture car, ‘une foi qui ne devient pas culture est une foi qui n’est pas entièrement acceptée, qui n’est pas entièrement pensée, qui n’est pas fidèlement vécue’ (Jean-Paul II, Lettre instituant le Conseil Pontifical pour la Culture, 20 Mai 1982, AAS LXXIV (1982) 683-688).
Ainsi le Conseil académique a pu apprécié l'intérêt pastoral et pour la recherche scientifique de certains titres:
- " L'intronisation d'un chef chez les Basakata. Le Pouvoir traditionnel à la lumière de la Parole de Dieu".
- " La conception de la mort et de l'Au-delà chez les Ekonda. Essai d'analyse sur l'eschatologie négro-africaine ".
- " La conception de la mort et de l'Au-delà chez les Basakata. Essai d'analyse sur quelques croyances en milieu traditionnel".
- " Les proverbes chez les Nkundo. sagesse pratique et enracinement biblique".
- " Pastorale des pygmées dans la Paroisse Saint Etienne de Penzwa"
- " La Pastorale de petites communautés chrétiennes (CEVB) à Inongo".
- " Catéchèse axée sur le dialogue à l'exemple de l'"Isolo" chez les Ekonda".
Ce travail de recherche et d'initiation à la recherche scientifique n'a pas d'autre but que de faire prendre conscience à no Etudiant de l'effort d'analyse et de reflexion qui leur est demandé pour rendre intelligible la foi tant au niveau de sa compréhension qu'à celui de sa tradition ( au sens de "non novi sed nove" ). Un travail d'inculturation de la foi dans la culture africaine en même temps que d'assomption d'authentiques valeurs africaines dans le christianisme. Un travail certes laborieux, en profondeur, processus lent et progressif sans doute jamais achevé. C'est par ces paroles qu'ainsi le Pape Jean-paul II n'avait jamais cessé, de son vivant, d'encourager les jeunes Eglises d'Afrique.
Abbé Joseph Belepe.-
samedi 30 janvier 2010
lundi 25 janvier 2010
L'EGLISE CATHOLIQUE DENONCE LA CORRUPTION
Les Evêques catholiques ont dénoncé la corruption dans un document pastoral récent " La justice grandit une nation " ( Pr 14,34). A la veille du jubilé de 50 ans d'indépendance, ce fléau semblait avoir atteint des proportions inquiétantes. Les Evêques estiment par aileurs que c'est la cause principales de toutes les anti-valeurs ainsi que de tous les autres maux qui minent le pays ainsi que toutes ses institutions. Les Evêques ne se sont pas limités seulement à dénoncer; ils ont, par ailleurs initié une session de formation du laïc chrétien congolais pour endiguer ce fléau à la base. La commission épiscopale chargée de l'apostolat des laïcs a tenu une session de formation du 16 au 23 Décembre 2010 à Kinshasa à laquelle plus de 50 délégués venus de différents diocèses avaient pris part. Cette session a été également l'occasion de renouveler le Conseil de l'apostolat des laïcs catholiques du Congo ( CALCC ). Le Diocèse d'Inongo a été représenté à ses assises par Mr Rodolph BOKO Ngwame, Professeur assistant à l'ISP/Inongo ainsi que par la Démoiselle NDONGO Valérie. Au terme de ce forum, un comité de gestion a été mis en place pour le suivi des différentes options.
La restitution de ce forum à Inongo par nos délégués s'est passée mardi 29 Décembre 2009, en présence de Son Excellence Mgr Philippe NKIERE, notre Evêque. On voit déjà comment le nouvelle année 2010 s'ouvre sur un impératif catégorique face à ce qui constitue comme une grangrène dans toutes les couches sociales du Pays.
Sé/ BOKO Rodolph, Délégué diocésain.-
La restitution de ce forum à Inongo par nos délégués s'est passée mardi 29 Décembre 2009, en présence de Son Excellence Mgr Philippe NKIERE, notre Evêque. On voit déjà comment le nouvelle année 2010 s'ouvre sur un impératif catégorique face à ce qui constitue comme une grangrène dans toutes les couches sociales du Pays.
Sé/ BOKO Rodolph, Délégué diocésain.-
mercredi 23 décembre 2009
JOYEUX NOEL ET MEILLEURS VOEUX 2010
A VOUS TOUS QUI NOUS AVEZ FAIT LE PLAISIR D'UN CLIN D'OEIL AMICAL
A VOUS TOUS QUI NOUS AVEZ CONSACRE UN PETIT TEMPS DE LECTURE ET D'ECHANGE DES VUES
A VOUS TOUS QUI AVEZ TROUVE DANS NOTRE BLOG UNE NOUVELLE PAGE DE LA VIE AU MAI NDOMBE
A VOUS TOUS QUI CROYEZ A L'AVENEMENT D'UN CYBERMONDE NOUVEAU PAR LA MAGIE DE LA GLOBALISATION
JOYEUX NOEL 2009 ET HEUREUSE NOUVELLE ANNEE 2010 !
vendredi 18 décembre 2009
NAUFFRAGE AU LAC, LE CRI D'OUTRE - TOMBE
Revenu Samedi 12 Déc. à 23 h 00 de notre voyage à Bokoro, je me suis mis dès notre arrivée à rendre grâce au Seigneur de nous avoir rassuré par sa présence tout au long de ce voyage à haut risque. Parti, en effet, vendredi 11 Déc. d'Inongo, dans les après-midi, nous avons été surpris par les vagues en pleine traversée de kesenge. Malgré la puissance de propulsion de nos deux moteurs hors bord de marque Yamaha, notre barque en bois resistait que timidement aux vents contraires. l'ingéniosité du conducteur a eu raison de ces vents impétueux et brusques.
A notre retour, Samedi 12 Déc., nous quittions Bokoro, aux environs de 10 h 00 sous une pluie battante. De ce côté, il n'y avait aucun danger à craindre à naviguer sur la Lukenye. Profitant du beau soleil des après-midi, nous croyions au beau temps d', après la pluie. C'est pour cette raison qu'une fois arrivés à Kutu, aux environs de 13 h 00, nous avions décidé de profiter du beau temps pour continuer notre voyage, pour mieux négocier les deux grandes traversées du lac dans le tronçon compris entre Kutu et Inongo: à Bekai ( plus ou moins 5 Km ) et à kesenge ( Plus ou moins 3 Km ). Erreur! Une grande pluie s'était également abattue sur Inongo et dans les villages environnants; ce qui faisait s'agiter le lac contiunuellement jusqu'à un peu plus tard dans les après-midi. Acculés, nous nous fions à la maîtrise de notre conducteur et surtout à son savoir-faire-pratique face aux signes de temps. Savoir interpréter les signes du temps au Lac est un atout majeur. La direction des vents signifie tout un message. Nous avions rencontré le type de vagues qui ne présentent aucun risque pour les voyageurs ni même pour les pêcheurs que nous avions rencontré nombreux entrain de pêcher avec leurs filets.
Dans la soirée, il n'y avait plus aucune vague ni aucune ondulation. Le lac se reposait de ses mouvements incessants. C'était pour nous l'occasion de tout faire pour atteindre Inongo même en pleine nuit d'autant plus que nous n'étions plus qu'à demi parcours de notre trajet. Tout était calme. le Lac se couvrait d'un silence des morts... Seul le souvenir du nauffrage nous hantait continuellement comme pour nous mettre à témoins de l'indifférence des vivants, - de certains vivants -, pour leur situation particulière. Leur silence, à jamais dans la nuit du temps, ressentit comme un cri face à l'oubli de ce coin particulier du grand Congo; coin autrefois mis en relief pour l'abondance de ses richesses; coin autrefois reservé à Sa Majesté le Roi de belges ( domaine de la Couronne ) pour ce qu'il en a tiré comme bénéfice personnel; coin livré à l'exploitation systématique et éhontée du bois par des compagnies forestières qui n'ont laissé comme trace visible de leur odieux commerce que la déforestation macabre de vastes étendues de nos fôrets primaires conservant en leur sein des essences de plus de 1000 ans d'âge. Du souvenir de nos proches membres morts noyés ou disparus lors du nauffrage du 25 Novembre 2009, il retentira encore plus fort le cri de révolte et d'indignation face à la destruction systématique de l'homme et de son écosystème. D'ici à 100 ans, l'exploitation du bois laissera des conséquences incalculabes sur l'environnement et l'homme. Déjà on remarque une spoliation sans précédent des fôrets et des espaces de vie de production pour l'homme, une détérioration de la qualité de nos fôrets étant donné l'abattage de meilleurs arbres très souvent sur commande pressante et fort rémunératrice, l'écremage des meilleurs arbres les plus remarquables de la fôret, perte inévitéble de la biodiversité, la disparition à court et à long terme de certaines espèces animales et végétales qui trouvent dans la fôret profonde ( la canopée )leur refuge et leur répère. Les compagnies forestières au Lac telle la SODEFOR ne laissent aucune chance à la regeneration des fôrets tellement celles-ci sont plus préoccupées à faire le maximum des bénéfices. Nous sommes étonnés de la part de notre gourvenement qu'il n'existe aucune mesure contraignant les exploitants de bois au reboisement; aucune taxe contribuant à compenser le manque à gagner économique pour les milieux exploités, aucune contrainte vraiment pour améliorer les conditions sociales dans les villages et grandes cités du Mai-Ndombe.
Qu'une catasthrophe de telle ampleur soit survenue sur une ferri de la Sodefor nous semble bien un signe de temps. C'est l'arbre qui cache la fôret. Trop c'est trop! Ce cri d'indignation du Clergé d'Inongo n'est rien de moins que l'écho sonore d'un cri beaucoup plus fort émergeant et débordant du silence des tombes.
Le Mai - Ndombe se meurt! le Mai - Ndombe de nouveau spolié, asphixié et saigné à blanc!
Abbé Jef BELEPE.-
A notre retour, Samedi 12 Déc., nous quittions Bokoro, aux environs de 10 h 00 sous une pluie battante. De ce côté, il n'y avait aucun danger à craindre à naviguer sur la Lukenye. Profitant du beau soleil des après-midi, nous croyions au beau temps d', après la pluie. C'est pour cette raison qu'une fois arrivés à Kutu, aux environs de 13 h 00, nous avions décidé de profiter du beau temps pour continuer notre voyage, pour mieux négocier les deux grandes traversées du lac dans le tronçon compris entre Kutu et Inongo: à Bekai ( plus ou moins 5 Km ) et à kesenge ( Plus ou moins 3 Km ). Erreur! Une grande pluie s'était également abattue sur Inongo et dans les villages environnants; ce qui faisait s'agiter le lac contiunuellement jusqu'à un peu plus tard dans les après-midi. Acculés, nous nous fions à la maîtrise de notre conducteur et surtout à son savoir-faire-pratique face aux signes de temps. Savoir interpréter les signes du temps au Lac est un atout majeur. La direction des vents signifie tout un message. Nous avions rencontré le type de vagues qui ne présentent aucun risque pour les voyageurs ni même pour les pêcheurs que nous avions rencontré nombreux entrain de pêcher avec leurs filets.
Dans la soirée, il n'y avait plus aucune vague ni aucune ondulation. Le lac se reposait de ses mouvements incessants. C'était pour nous l'occasion de tout faire pour atteindre Inongo même en pleine nuit d'autant plus que nous n'étions plus qu'à demi parcours de notre trajet. Tout était calme. le Lac se couvrait d'un silence des morts... Seul le souvenir du nauffrage nous hantait continuellement comme pour nous mettre à témoins de l'indifférence des vivants, - de certains vivants -, pour leur situation particulière. Leur silence, à jamais dans la nuit du temps, ressentit comme un cri face à l'oubli de ce coin particulier du grand Congo; coin autrefois mis en relief pour l'abondance de ses richesses; coin autrefois reservé à Sa Majesté le Roi de belges ( domaine de la Couronne ) pour ce qu'il en a tiré comme bénéfice personnel; coin livré à l'exploitation systématique et éhontée du bois par des compagnies forestières qui n'ont laissé comme trace visible de leur odieux commerce que la déforestation macabre de vastes étendues de nos fôrets primaires conservant en leur sein des essences de plus de 1000 ans d'âge. Du souvenir de nos proches membres morts noyés ou disparus lors du nauffrage du 25 Novembre 2009, il retentira encore plus fort le cri de révolte et d'indignation face à la destruction systématique de l'homme et de son écosystème. D'ici à 100 ans, l'exploitation du bois laissera des conséquences incalculabes sur l'environnement et l'homme. Déjà on remarque une spoliation sans précédent des fôrets et des espaces de vie de production pour l'homme, une détérioration de la qualité de nos fôrets étant donné l'abattage de meilleurs arbres très souvent sur commande pressante et fort rémunératrice, l'écremage des meilleurs arbres les plus remarquables de la fôret, perte inévitéble de la biodiversité, la disparition à court et à long terme de certaines espèces animales et végétales qui trouvent dans la fôret profonde ( la canopée )leur refuge et leur répère. Les compagnies forestières au Lac telle la SODEFOR ne laissent aucune chance à la regeneration des fôrets tellement celles-ci sont plus préoccupées à faire le maximum des bénéfices. Nous sommes étonnés de la part de notre gourvenement qu'il n'existe aucune mesure contraignant les exploitants de bois au reboisement; aucune taxe contribuant à compenser le manque à gagner économique pour les milieux exploités, aucune contrainte vraiment pour améliorer les conditions sociales dans les villages et grandes cités du Mai-Ndombe.
Qu'une catasthrophe de telle ampleur soit survenue sur une ferri de la Sodefor nous semble bien un signe de temps. C'est l'arbre qui cache la fôret. Trop c'est trop! Ce cri d'indignation du Clergé d'Inongo n'est rien de moins que l'écho sonore d'un cri beaucoup plus fort émergeant et débordant du silence des tombes.
Le Mai - Ndombe se meurt! le Mai - Ndombe de nouveau spolié, asphixié et saigné à blanc!
Abbé Jef BELEPE.-
COURRIEL DE(S) INTERNAUTE(S)...
VOYAGEUSE nous écrit:
"A tous les étudiants bonne chance pour cette nouvelle année académique. Heureuse de vous savoir tous bien arrivés au centre. Je suis certaine que chacun qui emprunte le lac en ce moment le fait avec des sentiments mitigés.
Il y a la crainte du vent, de la pluie, des tempêtes et puis il y a au fond du cœur cette douleur de savoir que tant de victimes y ont laissés leur vie.
Bravo à la belle collaboration et à l'Abbé Recteur d'avoir trouvé la solution pour que tout le monde soit présent à l'appel.
Bonne année académique à tous, professeurs et élèves et que ce soit la joie et le bonheur de voir la réussite après ces années de travail et d'efforts.
Que chaque jour soit béni par le Seigneur.
( NDLR : Merci à Voyageuse pour ces encouragements chaleureux. Cette marque d’attention et d’intérêt témoigne combien elle porte notre Institut et tout notre Mai – Ndombe dans son cœur et dans ses prières. Nous lui exprimons, à notre tour, nos meilleurs sentiments d’amitié et de profonde gratitude).
"A tous les étudiants bonne chance pour cette nouvelle année académique. Heureuse de vous savoir tous bien arrivés au centre. Je suis certaine que chacun qui emprunte le lac en ce moment le fait avec des sentiments mitigés.
Il y a la crainte du vent, de la pluie, des tempêtes et puis il y a au fond du cœur cette douleur de savoir que tant de victimes y ont laissés leur vie.
Bravo à la belle collaboration et à l'Abbé Recteur d'avoir trouvé la solution pour que tout le monde soit présent à l'appel.
Bonne année académique à tous, professeurs et élèves et que ce soit la joie et le bonheur de voir la réussite après ces années de travail et d'efforts.
Que chaque jour soit béni par le Seigneur.
( NDLR : Merci à Voyageuse pour ces encouragements chaleureux. Cette marque d’attention et d’intérêt témoigne combien elle porte notre Institut et tout notre Mai – Ndombe dans son cœur et dans ses prières. Nous lui exprimons, à notre tour, nos meilleurs sentiments d’amitié et de profonde gratitude).
jeudi 17 décembre 2009
LA RENTREE ACADEMIQUE EFFECTIVE DEJA DEPUIS CE 15 DECEMBRE 2009
L' Institut de Pastorale et de Catéchèse Biblique Mgr Jan Van Cauwelaert vient de nouveau d'ouvrir ses portes pour la rentrée académique 2009 - 2010 après plus ou moins trois mois de vacances. Celle-ci a eu lieu, en effet, depuis ce Mardi 15 Décembre 2009, ici à Inongo. Les Etudiants sont tous arrivés avec leurs familles. Ceux de la ligne Lukenye par manque d'occasion ont rejoint tous les autres juste deux jours avant la rentrée. L'Institut avait organisé tout un voyage pour aller les chercher. Après le nauffrage du 25 Novembre et compte tenu des vents violents du Lac pour cette période particulière, le Conseil d'Administration de l'Institut n'a pas voulu prendre des risques en laissant les Etudiants eux-mêmes se débrouiller pour arriver à Inongo. Il a été demander expressément à l'Abbé Recteur d'organiser tout un voyage jusqu'à Bokoro pour aller les chercher. C'est ce qui a été fait. Vendredi 11 Dé., L'Abbé Recteur s'est personnellement renud à Bokoro où trainaient encore 3 familles des Etudiants et à Kutu où l'attendait un autre groupe. Samedi 12 Déc., aux environs de 23 h 00, ils avaient de nouveau foulé le sol d'Inongo, à pied sec et non point les pieds mouillés. Comme pour dire que tout s'est passé à merveille, bien que la mort dans l'âme étant donné le thraumatisme de ces jours-ci pour les traversées au Lac.
Du côté de professeurs, tout est en ordre. Les cours ont bel et bien démarré. Il a été remis à chaque professeur sa charge horaire. L'Institut a la joie de voir que le Corps professoral a été encore étoffé en comptant en son sein deux nouveaux professeurs en la personne des Abbés Jean Iyompole et Hervé Nsele.
Troisième et dernière année de ce premier cycle, l'année 2009 - 2010 'est ouverte dans une athmosphère plutôt de satisfaction et pleine d'assurance. En attendant la Messe d'action de grâce pour l'ouverture de l'année ce week-end, nous ne pouvons qu'implorer la Providence pour l'aboutissement heureux pour tant d'efforts et de sacrifices consentis.
A. Jef B.-
Du côté de professeurs, tout est en ordre. Les cours ont bel et bien démarré. Il a été remis à chaque professeur sa charge horaire. L'Institut a la joie de voir que le Corps professoral a été encore étoffé en comptant en son sein deux nouveaux professeurs en la personne des Abbés Jean Iyompole et Hervé Nsele.
Troisième et dernière année de ce premier cycle, l'année 2009 - 2010 'est ouverte dans une athmosphère plutôt de satisfaction et pleine d'assurance. En attendant la Messe d'action de grâce pour l'ouverture de l'année ce week-end, nous ne pouvons qu'implorer la Providence pour l'aboutissement heureux pour tant d'efforts et de sacrifices consentis.
A. Jef B.-
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